Dietrich von Wyssenbach *Journaliste d'investigation* ¤Le fléau aristocratique¤
Nombre de messages : 31 Localisation : Deutschland Date d'inscription : 18/01/2009
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| Sujet: Lettre à Lord Voldemort Mar 31 Mar - 19:42 | |
| Le 30 mars de l'année courante
Lettre à l'attention du très honorable et distingué Ministre de la magie britannique auto-proclamé, le Lord des Ténèbres, plus connu sous le désignatif de Voldemort.
Monsieur le Ministre,
L'auteur de ces quelques lignes, dépité, s'est décidé envers et contre tout bon sens à s'adresser à vous par le biais d'un courrier, à défaut d'avoir eu le privilège de vous rencontrer en personne. Humble aristocrate issue d'une lignée de mages helvètes, l'homme qui se cache derrière cette plume représente en la circonstance la presse allemande, mais, par delà elle, tout le peuple germanique.
Le monde conscient des changements qu'impliquent votre nouvelle ascension, se questionne, s'interroge... Il veut apprendre, croire, deviner... espère saisir le sens de vos actions, leur valeur, leur signification. Chacun est en droit d'escompter comprendre l'autre, et l'Allemagne, aujourd'hui troublée, cherche sans doute à décrypter sa grande voisine, l'Angleterre.
Tantôt rivales, tantôt alliées, nos deux grandes nations n'ont eut cesse d'oeuvrer pour une plus grande magie. Aujourd'hui, vous êtes peut-être le sorcier qui, de part sa puissance sans équivoque, posera les jalons nouveaux d'une ère plus grandiose. Peut-être...
D'autres estiment que vous, nouveau ministre britannique, n'allez faire qu'étendre votre domination, vaine de sens, sur le monde. D'après ces détracteurs, votre idéologie va se répandre, et empoisonner les coeurs les plus purs...
Entre ces deux extrêmes, il y a aussi ceux qui ne savent pas, ceux qui ignorent, ou ceux qui n'osent se positionner. Très clairement, je veux que chacun, qu'il soit d'un parti ou d'un autre, puisse entrevoir vos dessins, la portée de vos actes, et peut-être même, une part de leur finalité.
Pour cette raison, je vous conjure de bien vouloir m'accorder un entretien, à l'issu duquel je ressortirai vivant et en bonne santé. En contre partie, moi, Dietrich von Wyssenbach, journaliste, je vous offre une tribune à l'étranger, sans équivoque. Je m'engage à publier la moindre de vos phrases, la plus petite de vos insinuation. L'Angleterre vous connait, la France vous craint, mais l'Allemagne, elle, s'intéresse à vous. Il serait regrettable que vous déceviez ses attentes.
Vous priant d'agréer l'expression de ma parfaite considération à votre égard, je vous fait part, Lord, de mes cordiales salutations.
Herr Dietrich von Wyssenbach
NB: Copies adressées aux principaux journaux britanniques, allemands, et français. | |
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