Etat civilNom : Von Wyssenbach
Prénom : Dietrich
Date de Naissance : 1er août 1975
Nationalité : Allemande et Suisse
Etat Matrimonial : Célibataire endurci
Dernier lieu de résidence connu : Köln, Deutschland
Profession : Journaliste d'investigation
Dossier médicalAge (entre 17 et 150 ans) : 29 ans
Poids approximatif : 68 kg
Taille approximative : 1m75
Autres : Présente des prédispositions à l'anémie.
Texte personnel(Sous forme d’un journal intime, de pensées, d’un article dans un journal, d’une journée type ou autre, introduisez l’histoire, la famille, le physique, la personnalité et les motivations de votre personnage. Le texte doit faire environ 1500 mots et rester fluide. Essayez de disséminer les informations plutôt que de tout faire par catégorie.)
Succession loufoque :Cela fait maintenant 7 mois que le patriarche de la riche famille Von Wyssenbach, originaire de Suisse, est décédé. 7 mois que s’enchainent querelles familiales et procès, entre d’une part l’héritier en droite lignée, Dietrich von Wyssenbach, et d’autre part un oncle éloigné, du nom de Harold von Tal. Un retour sur les faits s’impose !Tout a commencé le 3 juin 2003, avec la mort du grand entrepreneur sorcier Franz Xaver von Wyssenbach. A la tête d’un empire financier d’envergure internationale, ce respectable mage s’est éteint à l’âge de 127 ans, des suites d’une maladie de vieillesse dégénérative. Dans sa jeunesse, il avait fondé à Bern (Schweiz) une société spécialisée dans la confection de balais-volant hauts de gamme. Victime de son succès, la petite fabrique se constitua au fil des années une réputation solide, ce qui lui permit d’envisager différentes expansions. Après 10 ans d’existence, la firme helvétique avait étendu son rayon d’activité à toute l’Europe, et lorgnait déjà sur le marché américain. Néanmoins, ce succès ne constituait que les prémices de ce qui allait suivre. Diversifiant ses activités, le magicien à la tête de la célèbre marque SFB AG (ndlr. Swiss Flying Brooms) devait bientôt se retrouver unique actionnaire d’une holding bien huilée, influente sur les 5 continents. Par la suite, cette société a procédé à diverses acquisitions, dont la plus mémorable est le rachat de la célèbre marque de balais volant britannique Nimbus. Ainsi donc, au moment de sa mort, Franz Xaver von Wyssenbach disposait d’une fortune personnelle estimée à près de 2 milliards de Goldmark. Il est à relever que le patrimoine immobilier du défunt fait état de nombreux châteaux et manoirs, disséminés à travers tout le Vieux-continent, dont fait entre autre parti le manoir « Mondhaus » de Köln.
Etabli depuis de nombreuses années en Allemagne, Dietrich von Wyssenbach est le petit fils de Franz Xaver. Suite au décès de ses parents en 1980, assassinés par des néo-Grindelwadiens, il a été élevé par son grand-père, qui a pourvu à son éducation et ses besoins, emmenant son petit fils vivre avec lui dans le Land de Rhénanie du Nord Westphalie. Ainsi donc, Dietrich, de père suisse mais de mère allemande, quitta le domaine parental situé dans l’Emmental bernois pour rejoindre l’Allemagne à l’âge de 5 ans. De Köln, il dut régulièrement rallier la France et l'école de magie de Beaubâton, où il suivit une brillante formation de base, avant de décrocher un diplôme en sciences de la mécanique des sortilèges et enchantements, une formation complémentaire dispensée par le mage expert en la matière Marthin Hochblut. Spécialisé dans la branche des sortilèges, Dietrich a néanmoins également fait preuve d’une assiduité particulière en métamorphose. Ainsi donc, en mai 2001, à l’âge de 26 ans seulement, il est parvenu à accomplir une métamorphose animale complète et stable, après des années d’entrainement. C’est pourquoi Dietrich figure parmi les Animagi répertoriés d’Allemagne. A en croire le registre officiel de l’Etat fédéral, il se transforme en lapin - mais puisque les données inscrites au registre public sont cryptées, afin de protéger la sphère privée des magiciens dont le nom est répertorié, il pourrait aussi bien s'agir d'un loup, d'un chat, d'une souris, d'un canard, d'un renard, ou d'un raton laveur...- Aujourd’hui, Dietrich von Wyssenbach travaille en tant que journaliste d’investigation auprès du quotidien allemand Kurzansage. Il était l’héritier pressenti de la fortune de son grand-père.
Un jour avant que n’intervienne la rédaction de l’acte officiel de succession, un vieux testament, sous scellé magique, a été retrouvé au domicile du richissime homme d’affaires. Le document stipulait que toute la fortune revenait à un autre personnage, haut en couleurs, le magicien Harold von Tal, domicilié actuellement dans la région de Genf (Schweiz). L’heureux individu n’est autre qu’un oncle éloigné de Dietrich, que ce dernier ne connaissait d’ailleurs pas avant la tenue des innombrables procès qui ont fait suite à la découverte du testament.
Convaincu qu’il s’agissait là d’un faux document, Dietrich a décidé d’actionner la justice allemande pour que la ligne héréditaire de succession soit rétablie. Néanmoins, incapable de démontrer le caractère inauthentique du testament, le jeune homme a finalement été contraint hier de voir la fortune qu’il estimait lui revenir de droit léguée à un parfait inconnu, suite à la décision du juge Hamer, de la haute cour d’Allemagne. En sortant du tribunal, le discret garçon, noiraud, de taille inférieure à la moyenne, de corpulence fine, teint blême, costard sombre et mine obscure, n’a pas daigné répondre à nos interrogations. Il s’est contenté de passer silencieusement à travers la foule de journalistes, avant de se volatiliser en transplanant.
En revanche, Herr von Tal, également présent, à volontiers fait état de sa grande satisfaction à voir triompher le juste et le vrai.
« J’avais une grande confiance en la justice allemande, et je me doutais que toute la lumière serait faite quant aux accusations infondées dont je suis la victime. Mon petit neveu a commis une grave erreur en s’attaquant à moi et au puissant lien d’amitié qui subsistait entre son grand-père et moi-même. »
Un lien douteux puisque d’après nos sources, Herr von Tal n’était même pas présent lors de l’inhumation de feu Herr von Wyssenbach.
Cependant, que le fidèle lecteur de la Kölner Zeitung ne s’y trompe pas… Si Dietrich von Wyssenbach a perdu ce procès et le pactole promis par le décès de son grand-père, il n’en demeure pas moins un excellent parti. Sa fortune est estimée à une dizaine de millions de Goldmark, un bien qui lui vient de ses parents.
Le seul regret qui vaille la peine d’être exprimé dans cet article, c’est sans doute la volatilisation pour le fisc allemand d’une importante somme d’argent, qui retournera alimenter les comptes de la Schweizerische Eidgenossenschaft. C’est de bonne guerre, conclurons-nous, puisque le fisc suisse pratique encore et toujours des barèmes nettement plus avantageux que les principales puissances européennes… Mais ca, vous en conviendrez, c’est une autre histoire…
Vreni Schubert, Kölner Zeitung.
Qui sont-ils ?Nombreux sont les bruits qui courent au sujet des Augen, et innombrables sont les individus qui prétendent tout connaitre de cette organisation mystérieuse, qui aujourd’hui encore, fascine les Allemandes et les Allemands. A l’origine, les Augen avaient pour but de scruter le monde, le surveiller, afin d’éviter toute nouvelle ascension maléfique, semblable à celle du tristement célèbre mage Grindelwald, terrassé par Albus Dumbledore en 1945. Qu'en est-il de nos jours ?« Hier, je suis sûr d’en avoir vu un… il était là, vous voyez, à proximité de l’arbre. Il nous épiait. J’ai dit ca à ma femme, Geraldine, qui a aussitôt demandé à nos invités de rentrer chez eux. Si on ne peut même plus parler affaires tranquillement en Allemagne, où va-t-on ? Je vous le demande… »
Le dépositaire de cet énoncé refuse de décliner son identité au public. Néanmoins, il est catégorique. Un Augen était présent, mais pas sous sa forme humaine… D’après lui, il s’était métamorphosé en un animal quadrupède, peut-être un « gros chat, un chien, un loup, un lynx, ou même un renard… J’ai pas pu voir, il a décampé. »
Les récits de ce genre se multiplient ces derniers temps, alors qu’en Angleterre, on assiste impuissant à l'affermissement de la prise de pouvoir de Lord Voldemort. Que vont faire les Augen, qui avaient pour mission, à la base, de contrer ce genre de scénario ? Le spécialiste Frank Meyer, de l’institut sorcier des organisations non-gouvernementales secrètes, nous éclaire sur la question.
« En fait, il est difficile d’être catégorique lorsqu’on parle des Augen. Ce regroupement de mages est des plus discret, et contrairement aux Mangemorts, nous ne connaissons pas vraiment leur objectif. Aussi, nous ne savons pas clairement si leur but était d’empêcher l’ascension d’un nouveau mage noir, auquel cas, c’est un échec, ou bien si leur objectif était plutôt de prémunir l’Allemagne, et uniquement l’Allemagne, de ce genre de situation. Si c’est ce second point que poursuivent les Augen, alors tout n’est pas encore perdu concernant leurs actions. Il se pourrait bien évidemment que leurs motivations finales s’avèrent être tout autre… comme je l’ai dit, difficile d’être catégorique ! »
Les réponses évasives du préposé Frank Meyer sont de natures à inquiéter. Le gouvernement allemand ne semble avoir aucune prise sur ce genre d’associations, même si il enquêterait actuellement sur différents cas suspects. Un prétendu recruteur de la communauté Augen, Niklaus Straussman, aurait même été arrêté et interrogé. Aucun renseignement valable n’a été obtenu, et le dénommé Straussman est mort quelques jours après son interrogatoire. Ainsi donc, les questions restent entières.
Pour en revenir au cas cité tout en haut de ce fait divers, notons que notre journal s’est permis de mener sa petite enquête. Nos conclusions sont les suivantes :
Ont connu Niklaus Straussman et sont animagi quadrupèdes les sorciers allemands suivants :
- Felix Doran
- Eduard Grossmann
- Dietrich von Wyssenbach
- Marianne Kösler
- Fanny Brandt
- Claudia Fiesler
- Leonida Aria Mathilde von Marwel
Des personnes du monde de la magie respectables et respectées…
Le dépositaire du témoignage cité en début d’article, lui, est connu des services hospitaliers magiques allemands pour être un amateur de bière, ayant des antécédents médicaux inquiétant dans le domaine de la psychologie.
Ainsi donc, comme le rappelait cet article à son début, en matière d’Augen, rien n’est jamais simple, et innombrables sont les personnes qui croient tout savoir, mais qui au final, souffrent surtout d’une imagination trop prolixe. Et si les Augen n’existaient pas ?
Peter Brabek, Kölner Zeitung.
Précisions relatives à l'étude de la métamorphose:"Damit das Mögliche entsteht, muss das Unmögliche versucht werden". Ces mots de Göthe résument à merveille l'état d'esprit que doit adopter tout candidat à la formation d'animagus. En effet, les étapes qui mènent à cette étrange aptitude sont multiples, variées, et coriaces. La détermination doit être sans faille, l'intelligence aux aguets... Seul, il est presque impossible d'acquérir le niveau nécessaire à la concrétisation de ce don.
Dietrich von Wyssenbach fut sensibilisé à cette magie dès l'âge de 13 ans. Son grand-père, notant une facilité d'apprentissage chez son petit-fils, prit la décision d'exploiter le potentiel de sa progéniture. Il assigna donc un précepteur au jeune sorcier, un homme d'environ 80 ans, qui disposait d'importantes connaissances en métamorphose. Le magicien entreprit dès lors de dispenser sa matière avec fermeté et rigueur, si bien qu'en peu de temps, Dietrich acquit les fondamentaux de cette discipline. L'enfant avait beau préférer la pratique des sortilèges, il n'en demeurait pas moins doué pour l'art de la métamorphose. Les années passèrent, et, mis en corrélation avec les enseignements de l'institut magique de Beaubâton, le savoir du vieux précepteur se révéla une aide fort utiles aux études du jeune aristocrate.
Les années s'écoulèrent et le travail assidu du jeune homme se poursuivit...
A l'âge de 26 ans, soit 13 ans après avoir débuté son apprentissage, Dietrich fut finalement capable pour la première fois de revêtir forme animale. Le garçon adoptait ainsi les traits d'un renard au pelage roux éclatant, avec pour signe distinctif une tâche blanche au bout de la queue.
Les sacrifices qui mènent un sorcier au rang d'animagus sont nombreux... Le temps n'attend pas, les années filent, les heures passées à étudier sont révolues, pour toujours... Si Dietrich est parvenu à son objectif, inutile de préciser qu'il a payé, pour se faire, un lourd tribu, renonçant à une partie de sa jeunesse...
Motivation relative à l'obtention d'aptitudes d'animagus:Le personnage que j'entends développer sur ce forum sous le nom de Dietrich von Wyssenbach est un jeune journaliste ambitieux, vaniteux et fier... Un être prêt à tout pour arriver à ses fins, si bien qu'épier les autres à leur insu, pour son compte ou celui des Augen, ne le gêne aucunement. La morale du jeune aristocrate qu'est Dietrich demeure fort discutable, mais son talent et son ambition ne sauraient être remis en question. Aussi, que ce soit par rapport à sa profession (journaliste) ou à ses activités en temps libre(au service des Augen, ou non), la faculté d'animagus permet de développer considérablement les intrigues autour du personnage de Dietrich. De plus, le milieu social dans lequel évolue le dit individu est tel qu'il contribue à faciliter l'introduction d'une telle caractéristique chez ce personnage.
Avatar de votre personnageJ'ignore le nom de la personne représentée sur cette image. Il s'agit d'une photo artistique obtenue à partir du site
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