Le Dossier d'Uffie.

I] Les machins écrits en dessous de mon pseudo.

1./ Civil
Le blaze : Uffie Anfrage Cartel.
Pays fréquentés : Allemagne, enfin le machin avec de la bière et de la choucroute pour le goûter.
Métiers : Défouloir à quinqua sadique, fournisseur de cuite, gode.

2./ Académiques
Connaissances et pouvoir spéciaux : Sait faire des bulles avec sa bouche, animagus.
Style de magie : Ratée.
Points forts et faibles : Fort : Un peu con mais gentil. Faible : Un peu con mais gentil.

II] Parcours du Personnage
Pas grand chose.

III] Groupes fréquentés
RAS.

IV] Amis, amours, emmerdes

1./ Amours ... ?
2./ Famille Des moldus, pas important.
3./ Amitiés ... ?
4./ Connaissances Un quinqua sadique.
5./ Ennemis Le voisin (sans déconner).

V] Là où je tape vaguement sur Openoffice pour défouler ma logorrhée

1./ Fiche
Truc que vous ne lirez jamais parce qu'on s'en tape.
2./ Topics que vous ne lirez jamais parce qu'on s'en tape tout autant.
- Truc sans sens, avec des sautes d'humeur digne d'un cocaïnomane sous amphetamines (parce que le joueur sait pas jouer sans foutre des over scènes post-apocalyptiques de remise en question et de cirse de larmes partout, quel boulet). FINIS !
- Truc auquel on ne me répondra pas (mais suceptible de contenir de la fesse).
- Truc nice (et suceptible de contenir de la fesse aussi).
- Truc où je suis un chien (parce que c'est trop cool d'être un chien !).

VI] Autres

Pour ceux qui on envie de savoir d'où vient le nom d'Uffie.
Pop the Glock - Uffie
Mange moi la minette (Chose Chaton Minou Minou Remix) - Cartel Couture
Le site où j'ai vu le mot "Anfrage" pour la premier fois (attention c'est laulant).

La super playlist d'Uffie.

Le vingt quatre avril deux mille quatre.

Cher journal,
je suis désolé de t'avoir tant négligé ! Il faut dire que depuis que j'ai parlé à Uffie, je suis tout bouleversé. Je n'ai plus su quoi dire, et puis ma vie en dehors de ça n'est pas tellement palpitante. Enfin je suis heureux d'avoir surmonté mes dernières inhibitions le concernant, je suis tellement heureux ! Je suis allé lui apporter un bouquet de fleur, comme ça peut se faire dans une relation normale, et il a fuit, je n'ai pas compris pourquoi. Bon, je lui efface la mémoire à chaque fois que je le vois, mais il devrait pourtant lui rester quelque chose non ? Que c'est frustrant ! Il n'a pas l'air de comprendre qu'entre lui et moi, c'est obligatoire. Tout ce qu'il fait, c'est bouffer des médicaments moldus à longueur de journée et de ricaner bêtement. Une fois, j'avais un peu trop forcé la dose sur l'Oubliettes, j'ai dû aller le chercher dans sa cave parce qu'il restait en sous vêtements à regarder fixement ses mains. Si il comprenait, ça serait tellement plus simple ! Chaque aspect de sa vie est fascinant, mais il n'en prend pas conscience, il la gâche, je me devais d'intervenir.
Pour mon dernier copain, j'avais encore quelques scrupules, quelques cas de conscience. Quelques fois je me réveillais, et je me disais « mon dieu, qu'est ce que je fais ?! », et puis finalement, j'ai compris que ce que je faisais était légitime. Plus qu'un certaine légitimité ou un droit, un devoir même ! Je suis fier de ce que je fais, de ce que je suis. Je crois que j'ai compris ça au moment où j'ai tué Herman, l'amour n'a pas de limite, non ? Je veux dire, qu'est ce qu'on vient poser une morale aux sentiments ? Mieux que ça, les gens ne respectent pas des limites mises par la société : Ils se les imposent inconsciemment eux même ! Je suis désolé d'être si brouillon Journal, cher Journal, mais c'est quelque chose que j'ai besoin de dire, même si je le formule mal. Je n'essaye pas de tendre moi même vers une impossible perfection, je suis plus altruiste que ça, je fais partager les autres. Et finalement, n'y a t'il pas plus parfait qu'un jeune homme mort ? Mais je veux dire, faut pas le tuer comme ça direct tac au pif, il faut un rituel, il faut que ça soit la bonne personne, que ça me parle, non ? Dans un but purement esthétique, il faut beaucoup de sang, et je renaît à chaque fois. C'est un mécanisme qu'il est dur de comprendre.

...

Bon il faut que j'arrête là, en parler comme ça ça me rend... Etrange, disons que prendre du recul ne me va pas. Comme quelques brides de morales encore imposés par la société qui resteraient dans ma tête, dans un coin. Nom de dieu que je la déteste ! Elle m'étouffe. Je sens comme un dissociation entre ce que je suis et ce que je devrais être, quelque chose comme ça. Comment combler le trou ? Je ne sais pas, et je crois que tel que je m'y prends maintenant, je peux survivre. C'est comme une drogue, faire quelque chose qui monopolise l'esprit pour combler un vide immense, et le mien est vraiment grand ! Au début, on se donne de petites excuses, on s'arrange avec sa conscience et finalement on arrive à la conclusion que peut importe que les barrière soient là ou non du moment qu'on les saute, et on s'assume, parce que la légitimité est là, et que j'ai le droit.
J'y vais, au revoir cher Journal, toi seul qui peux me comprendre puisque tu ne me coupe pas la parole et que tu n'as pas d'avis, tel une marionnette.